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LA SLAVONIE : DE ZAGREB A PTUJ
Lundi 16 juin
DE ZAGREB A ČIGOĆ
Nous quittons la base de loisirs sous un ciel bien gris, température en baisse. C’est vraiment l’emplacement idéal pour visiter Zagreb, de plus pour nos deux nuits nous n’avons payé que les 10kunas demandés à l’entrée.
La circulation n’est vraiment pas importante, nous n’avons pas l’impression d’être dans une capitale.
Dès la sortie de Zagreb c’est la campagne avec des champs de céréales, des cultures maraichères et des vergers. Le paysage est tout plat. Nous traversons quelques villages, nous voyons de plus en plus de maisons traditionnelles en bois et des cigognes.
Nous allons visiter Sisak, nous n’y avons pas trouvé grand intérêt. Nous continuons vers Stari Grad à 1,5km où se trouve une forteresse. Coincée entre la Sava et la Kupa cette forteresse triangulaire date du XIIIème. Pas de chance, bien que normalement ouverte de 12 à 18h nous trouvons porte close.
Nous déjeunons et repartons vers Čigoċ.
La petite route bordée de quelques villages pittoresques aux demeures en bois, suit la Save.
A la sortie de Gušċe un panneau nous indique que nous entrons dans le parc naturel de Lonjsko Polje. Le Lonjsko Polje est la plus grande zone inondable d’Europe. C’est le repaire de 240 espèces d’oiseaux et autres bêtes de marais, dont les moustiques !
La partie de Croatie que nous découvrons maintenant n’a rien à voir avec ce que nous avons vu jusqu’à présent. Nous rencontrons bien peu de touristes.
Nous nous posons à Čigoċ. au camping indiqué juste avant la salle des fêtes. C’est un tout petit camping aux constructions traditionnelles avec des cigognes sur les toits.
Après s’être vaporisés d’anti-moustique nous allons découvrir le village. C’est un village rural tout en longueur, il n’y a qu’une rangée de maisons ou fermes, toutes ou presque ont un ou plusieurs nids. Čigoċ serait le village d’Europe qui en possèderait le plus.
Cochons, poules, canards se promènent en liberté. Pas farouche ce petit cochon marron, quand on l’appelle il vient nous voir tout en continuant de brouter l’herbe.
98kms – N 45°25’03’’ - E 16°37’41’’
Mardi 17 juin
DE ČIGOĆ A RATKOVIKA
Je crois que le beau temps nous a abandonné, ce matin le ciel est encore gris.
Nous observons Maman et Papa Cigognes retaper le nid, donner à manger aux enfants, puis faire un brin de toilette.
Nous continuons la route qui longe la Save, traversons quelques villages « authentiques ». Pourtant habités ils nous paraissent souvent bien déserts, pas de pécheurs non plus sur les pontons. La forêt toujours présente, parfois les pieds dans l’eau, assombrit encore plus le paysage.
Les cigognes viennent au ravitaillement dans les prés, nous apercevons tout un groupe de ce qui nous semble être des cigognes noires. Pas facile de photographier entre le parebrise « cracra », la bruine, l’impossibilité de s’arrêter. Il est certain que ce coin mérite d’être sillonné à pieds, à bicyclette ou scooter pour pouvoir se poser facilement et observer la nature, et de préférence avec le soleil.
Egalement impossible de se poser au niveau de l’écluse ou la Veliki Strug et la Save se rejoignent, il y a bien un semblant de parking mais partiellement recouvert d’eau et un gros camion l’occupe.
Nous longeons la frontière Bosniaque de très près, Free s’affole. Toutes les 2’ je reçois un message m’informant des conditions d’appel pour la Bosnie, puis la Croatie, à nouveau la Bosnie…. Et ce pendant un bon moment.
A la sortie de Jasenovac nous passons près du mémorial du camp de concentration où furent exterminés des milliers de Croates (Juifs, Tziganes ou résistants) et de Serbes lors de la seconde guerre mondiale. L’accès ne doit pas se faire sur cette route.
Un peu plus loin au niveau d’un pont, il y a encore une grosse concentration de cigognes, canards, grues et autres.
A Kutina, après avoir eu un peu de mal à localiser l’église SV Marije Snježne, nous préférons libérer le parking car des obsèques vont avoir lieu. Quand je dis que nous avons du mal à localiser cette église c’est parce que le guide annonçait une église « qui dresse ses clochers à bulbe au dessus des frondaisons », or celle que nous avions devant nous « dressait un seul clocher ». En cherchant au travers des branches nous avons trouvé un panneau, nous étions donc bien au bon endroit.
Nous filons jusqu’à Ratkovika où Marila nous avait gentiment proposé de nous recevoir sur son terrain.
Les villages que nous traversons sont colorés. Même si les maisons donnent parfois l’impression de ne pas être terminées les abords sont toujours nets, fleuries et pelouses impeccables. Elles sont séparées de la route par une piste piéton puis un terre plein et un fossé engazonnés, un passage bétonné permet d’accéder aux maisons.
Je suis toujours aussi surprise de voir autant de chapelles et d’églises. Même si la plupart sont du style Slavone avec le clocher à bulbe nous en voyons de toutes sortes.
Aujourd’hui encore les traces de la guerre sont toujours apparentes sur les murs des maisons, certaines abandonnées, dévastées.
Marila étant absente actuellement (elle nous avait fait part de cette éventualité), elle a prévenu ses voisins de notre passage, nous avons donc un comité d’accueil. Finalement nous allons stationner dans la cour d’un agriculteur. Un voisin vient et nous offre une bouteille de vin de sa production. Malheureusement la barrière des langues nous empêche de communiquer, dommage.
Je ne mets pas les points GPS de notre stationnement, si Marila m’y autorise je communiquerai ses coordonnées à ceux qui le désirent.
180kms
Mercredi 18 juin
DE RATKOVIKA A KOPACEVO
Après les avoir remercié nous quittons nos hôtes.
Pozega, à la recherche d’un parking nous essayons de nous rapprocher du centre. A un moment, voyant qu’un peu plus loin la rue semble se transformer en zone piétonne, nous prenons une route à gauche. Pas très large, double sens de circulation et au bout des jardinières empêchent d’aller plus loin. Marche arrière, je revérifie quand même à l’entrée de la rue, il n’est pas indiqué que c’est un cul de sac.
De nombreuses personnes sont déjà installées aux terrasses de café.
Le monument de Fra Luka Ibrišimoviċ se cache sous des tentures, certainement en train de se refaire une beauté. Nous pénétrons dans la cathédrale Ste Thérèse d’Avila, pas très grande et contrastes de styles entre baroque et moderne.
Nous continuons vers la place de la sainte Trinité où se dresse la colonne de la Peste érigée en 1749 pour célébrer la fin de l’épidémie de peste de 1739.
De l’église de la Ste Trinité j’ai surtout retenu le confessionnal rococo, l’orgue et le cloitre avec son puits central.
Nous flânons un peu dans les rues avant de prendre la direction de Đakovo.
C’est un peu plus vallonné, nous faisons des kilomètres sans croiser de véhicules, juste ce jeune agriculteur sur son tracteur qui paraît tout content de nous voir et nous salue. Pas grand chose à se mettre sous l’objectif à part quelques petits cochons et toujours ces ruches chargées sur des camions.
A Đakovo nous stationnons sur le parking du Lidl. Nous ne voyons ni costumes traditionnels, ni chevaux comme indiqué sur les guides.
La cathédrale St Pierre est imposante. Toute en brique, elle date de 1866-1882. Ses 2 clochers culminent à 84m, encore une fois nous trouvons porte close. Juste à côté se dresse le palais épiscopal et en face les habitations des chanoines de la cathédrale.
L’église de Tous les saints n’a gardé de ses origines musulmanes que la coupole, nous ne voyons l’intérieur qu’à travers une vitre.
Vukovar, ce nom évoque peut être quelquechose pour certains. C’est une ville martyre comme Oradour sur Glaine.
En mai 91 cette ville a subit un siège de plus de quatre mois, subissant d’importants bombardements et devenant petit à petit un champ de ruines. A défaut de munitions la cité tombe aux mains des Serbes le 18 novembre. L’horreur continue, les Croates sont arrêtés, torturés, déportés ou exécutés. Les blessés et le personnel de l’hôpital, soit environ 200 personnes, sont embarqués dans des camions et emmenés dans la campagne. Ils sont massacrés dans un champ et enterrés sur place.
Même si la ville se reconstruit de nombreuses maisons et monuments témoignent de cette violence.
Nous allons jusqu’au mémorial à 10km de Đakovo en direction de Ilok. Au milieu des champs, une pierre blanche sculptée à côté d’un bâtiment, malheureusement celui ci ferme à 17h et il est 17h10.
Bizarre, dans la continuité du bâtiment des clôtures, du matériel agricole et un panneau interdisant de photographier et tout autour d’immenses surfaces de blé, colza, maïs, tournesol, des troupeaux.
Nous roulons tranquillement vers Osijek, quand, pour raisons de travaux un panneau nous indique d’aller à gauche. Sauf qu’au bout de cette route il y a l’aéroport et impossible d’aller plus loin. Il faut donc revenir sur nos pas et trouver une autre route.
Etape au petit camping de Kopačevo.
257kms – N 45.59889° - E 18.78444
Jeudi 19 juin
DE KOPACEVO A NAŠICE
Depuis hier soir nous avons des voisines certes pas bruyantes mais bondissantes, en effet des grenouilles sautent autour du camping car. Au moins elles ne piquent pas, comme tous ces moustiques vampires qui tournent autour de nous.
Quand nous allons payer le propriétaire du camping il nous fait comprendre qu’aujourd’hui personne travaille, que tout est fermé c’est férié. Après contrôle c’est la Fête-Dieu, fête mobile qui cette année tombe le 19 juin. 14.
A Osijek nous nous posons sur un terrain près de la vieille ville. Un automobiliste s’arrête pour nous prévenir qu’il vaut mieux aller ailleurs. Nous nous dirigeons vers la gare et la gare routière, où nous trouvons une place derrière le Spar au niveau des quais de déchargement.
Osijek est la capitale de la Slavonie, au bord de la Drave, elle est à 30kms de la Hongrie et à 20 de la Serbie.
Curieux ces motifs de machines à coudre dans ce décor floral sur le bâtiment Waldinger (1885). Un rapport avec l’activité d’anciens propriétaires ?
Il y a peu de monde dans les rues d’Osijek, par contre l’église St Pierre et St Paul est pleine. Cette église comme celle de Dakovo est faite de brique rouge. Sa flèche s’élève à 90m.
L’avenue de l’Europe est bordée d’hôtels particuliers (mélange de style Historiciste, Sécession et Jugendstil) aux façades fatiguées où meurtries par le dernier conflit.
Nous traversons le Jardin du Roi Tomislav et arrivons à la Citadelle. Laissée un peu à l’abandon, le siège de 1991 aurait fait prendre conscience de la valeur du patrimoine. Depuis l’université et des restaurants s’y sont installés.
La porte d’Eau est la seule rescapée des quatre portes de la ville. Un escalier permet de monter sur le peu de vestige des remparts au dessus de la porte et d’avoir un point de vue dur la Drava, mais franchement ce n’est pas très engageant le sol est couvert de débris de verre et de détritus en tous genres.
Une balade le long de la Drava finit la visite d’Osijek.
Bivouac à Našice. Avec cette chaleur une petite sieste s’impose avant d’aller voir la ville. Promenade dans le parc autour de l’ancien château des comtes Pejačeviċ. Des tables couvertes de blanc avec une gerbe de blé, des gens « bien endimanchés » affluent à l’église, nous supposons que cela a un rapport avec la Fête-Dieu.
Un tracteur relooké en locomotive fait le tour de la ville.
Vers 20h les cloches se calment un peu. Je commençais à appréhender la nuit car elles sonnaient tous les ¼ d’heures et carillonnaient toutes les heures !
Quelques jeunes en fin de soirée viennent faire un peu de bruit en essayant de secouer le camping car et s'enfuient vite fait.
69Kms – N 45°29’06’’ - E 18°05’29’’
Vendredi 20 juin
DE NAŠICE A KOPRIVNICA
Happy Birthday to you….. Bernadette et Noël arrivent en chantant pour souhaiter l’anniversaire de JM.
Après ce petit intermède nous reprenons la route.
Toujours des maisons colorées mais de plus en plus de maisons typiques de Slavonie. Perpendiculaires à la route, celles que nous voyons aujourd’hui ont un pignon simple et une galerie latérale à piliers ou a arcades.
La visite de Virotovica se révèle décevante, le château est laissé à l’abandon. Je suppose que dans ces années d’après guerre il y a des priorités dans l’utilisation de l’argent public et que le patrimoine n’en fait pas forcement partie.
Quant à l’église St Roch et St Sebastien, l’intérieur est surchargé de mobilier, sculptures, dorures..
De ce fait nous zappons Bjelovar et Durdevac.
A Hlebine, alors que nous déjeunons sur le bord d’une route un peu à l’écart du centre, une jeune femme vient nous voir. Elle se présente en Français qu’elle nous dit avoir appris à l’école. Elle nous explique que nous pouvons, sur les conseils de la Mairie, nous installer sur le parking derrière le musée et que nous pouvons y rester aussi longtemps que nous le souhaitons. N 46°09’11’’ E 16°58’03’’
Comme je lui demande où sont les maisons à toit de chaume elle répond qu’il n’y en a plus.
Nous aurions aimé répondre à son invitation d’aller la voir dans son atelier, nous aurions pu lui poser des questions et la voir travailler.
Ses coordonnées : LYERKA TROPSEK (ERIKA) – HLEBINE ATELIER - H66EDUSICA 24
Nous allons donc nous garer sur ce parking.
Des statues de bois très expressives paradent sur la pelouse devant le musée.
Dans le musée sont exposés des tableaux de « peintres paysans ». Hlebine est le berceau de la peinture « naïve Croate.
Le peintre Krsto Hegedušiċ né à Hlebine, après avoir fondé le groupe Zemlja découvrit dans son village natal la première génération des peintre paysans, constituée par Ivan Generaliċ, Marko Virius, Ivan Večenaj et Franjo Mraz et les fit exposer à Zagreb. C’est ainsi qu’est née l’école de Hlebine.
Ces peintures sont principalement exécutées sur verre, sur le verso. Elles représentent souvent des paysages enneigés, des scènes paysannes, mais aussi des choses inattendues comme la Tour Eiffel entourée de vaches multicolores
Les nombreux ateliers installés dans la ville se visitent.
L’habitat change, en plus des puits dans la cour nous voyons maintenant des séchoirs à maïs en bois.
Nous filons jusqu’au Kamp Odmoriste Cerine à Koprivnica. Situé sur le parking de la piscine ça ressemble plus à une aire de service qu’à un camping.
157kms – N 46.15361° - E 16.84278
Samedi 21 juin
KOPRIVNICA
Aujourd’hui nous jouons relâche. Je profite d’une connexion internet à peu près correcte pour mettre les photos sur les derniers articles.
En fin de matinée nous allons découvrir la ville.
La place Zrinski et le parc semblent en être le centre, nous pouvons y voir quelques jolies façades.
L’une d’elle à pans de bois et à arcades abrite un restaurant.
Nous décidons d’y déjeuner. Nous nous installons à l’intérieur sous des voutes de briques noircies par l’énorme cheminée centrale, mobilier massif et sculptures bois, sol en galets. Nous attendons un moment notre commande, quand mon goriški gulaš arrive je suis un peu surprise, je crois même qu’ils se sont trompés, j’ai l’impression qu’il n’y a que du liquide dans l’assiette.
Mais non, il y a bien de la viande et des pommes de terre et c’est plutôt bon, idem pour les plats commandés par Bernadette, Noel et Jean-Marie.
Comme nous aimons bien terminer sur une petite note sucrée, nous commandons des crêpes. Après un très très long moment la serveuse arrive avec trois assiettes, sert les crêpes aux noisettes de Bernadette et Noel et les « crêpes dans la sauce … » à Jean-Marie.
Je me dis que les miennes vont arriver, mais non. Les crêpes sont mangées, presque digérées que moi j’attends encore. Nous interpellons la serveuse, et après un long moment mes crêpes arrivent enfin avec un vague mot d’excuse. Donc a condition de ne pas être trop pressés et pas exigeants sur le service c’est un bon restaurant.
Petite balade digestive dans le parc.
La ville paraît vide, les magasins sont fermés. Nous avions l’impression qu’une fête se préparait mais ça ne remue pas beaucoup.
Retour au camping car.
Dimanche 22 juin
DE KOPRIVNICA A PTUJ
Allez un petit tour en décapotable, c’est dimanche on va à la ville.
Les séchoirs à mais bien que toujours présents sont moins nombreux et de style différent de ceux rencontrés du côté de Hlebine.
A Varaždin nous trouvons une place pas très loin du vieux château, en plus comme c’est dimanche c’est gratuit.
Mi-forteresse, mi-palais deux tours rondes, une carré, un bâtiment tout blanc, le château parait dans son écrin de verdure. Du 12ème siècle, il est partiellement reconstruit vers 1560 par des artisans de Côme qui lui donnent un aspect renaissance.
Nos pas nous guident ensuite rue des Ursulines devant l’église et le couvent du même nom, et en face le monastère des Franciscains où c’est l’heure des vocalises.
Nous débouchons ensuite une place où nous retrouvons la statue de Grégoire de Nin. Vous vous souvenez sans doute nous l’avons déjà vu à Split et à Nin.
Je ne vais pas tout vous décrire, ce serait trop long. Je peux vous dire que c’est une ville très agréable, paisible. Il fait bon se promener le nez en l’air, et oui pour une fois pas besoin de regarder où l’on met les pieds, on profite du spectacle, de jolies façades, des enseignes, des enfants qui courent ou circulent à bicyclette sur la place sans crainte pendant que les parents sont tranquillement installés à la terrasse d’un café.
Pendant la visite nous dégustons notre dernière glace Croate. Je dois avouer que durant notre séjour en Croatie nous avons fait une cure de glaces, et celle d’aujourd’hui est particulièrement bonne et ce pour 5 kunas une boule énorme (0,65€ !!).
Pour écouler leurs kunas restant Bernadette et Noel nous invitent au restaurant « Verglec ». Adresse à retenir, dans un décor agréable, un service soigné nous avons apprécié quelques spécialités régionales. Je suis incapable de vous donner les noms à part le Kipliči ou doigt de Varaždin. Tout était local : l’apéro, les escalopes de porc, les escalopes de veau cuites sur un lit de pommes de terres au four dans un plat en terre, et les desserts !!
Bien repus, nous regagnons notre véhicule.
Pour la Croatie c'est fini, nous passons en Slovénie.
Nous traversons la Drava qui aujourd’hui paraît bien inoffensive, pourtant elle a causé bien des dégâts il y a quelques semaines.
Bivouac à Ptuj.
Kms – N 46°24’54’’ - E 15°54’49’’
Tags : KOPRIVNICA, VARAZDIN, SLAVONIE, CIGOC, RATKOVIKA, JASENOVAC, POZEGA, DAKOVO, VUKOVAR, CROATIE, SLAVONIE, CAMPING CAR
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Commentaires
Mignon encore ce joli coin que vous traversez
Nous avons côtoyé hier, cochons noirs, joleis vachettes, chevaux , biquettes et moutons sur les routes de montagne qui mènent à Patra et .... pharmacie ce matin pour essayer de soulager Michel qui s'infecte avec les piqures de moustiques !!! pas trouvé ton produit !!
biz à vousCoucou les dgimis,
Ce soir nous avons moustiques et grenouilles sur le terrain. Les bougies antimoustiques brulent dans le CC....
Aujourd'hui nous sommes allés entre autre à Vukovar tristement, encore beaucoup de dégats visibles.
Bizz
Bonsoir Claudie,
Effectivement beaucoup de cigognes, la Slavonie est un joli coin oublié des touristes.
5RolandeJeudi 19 Juin 2014 à 09:01Bonjour Gyslaine et Jean-Marie;
Ville peu réjouissante de Vukovar.......
Bonne continuation
Rolande
Bonsoir
merci d'être venu survoler mon blog
merci aussi pour la superbe balade en photos .
bon week-end
amitiés
Bonjour Ghislaine.
Ton récit de voyage est si complet, si bien documenté, que si je dirige les roues de mon carrosse vers les provinces illyriennes, je ne rechercherai pas mes vieilles notes, ni n'emporterai un quelconque guide (lesquels sont généralement très incomplets), il suffira que je copie tes divers articles...
Bonne continuation
Christian
9RolandeSamedi 28 Juin 2014 à 14:03Bonjour Gyslaine et Jean-Marie; vous êtes ou? j'en suis à Ptuj, je suppose que vous en êtes loin!
a +
Rolande
Coucou
je vous imagine pas loin de chez vous ?
biz à vous et à un de ces joursles dgimis en Grèce
Bonjour,
La Slavonie, partie de la Croatie oubliée des touristes est à ne pas manquer.
Bonne journée
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C'est impressionnant la quantité de cigognes dans ce village, c'est très rural comme endroit et le cochon est mignon.
bonne route.