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S7 - DE TATA A BOUJDOUR
Lundi 4 mars 2013 15° - orage cette nuit et pluie ce matin.
Le carrelage de la piscine n’est pas fait pour supporter le poids des CC, de nombreux trous nécessitent des manœuvres de la part des chauffeurs pour sortir.C’est un temps béni pour les Marocains qui attendent tellement cette pluie, mais la poussière se transforme rapidement en boue.
Cela n’a pas l’air de les perturber, chacun continue ses occupations, des jeunes vont à l’école à bicyclette sous leur parapluie, une femme revient des champs avec son chargement, d’autres attendent le bus, un homme travaille dans un champ sous son parapluie.
Des travaux sur la N12 et nous voilà déviés sur une route parallèle, je devrais plutôt dire une piste. Quand nous revenons sur la N12, la route est aussi défoncée. Nous faisons une bonne trentaine de kilomètres dans ces conditions.
Entre les trous et le déluge c’est une journée galère pour le chauffeur et il est bien difficile d’apprécier le paysage.
En voyant l’eau rester sur le terrain, je comprends mieux pourquoi les oueds gonflent si rapidement. Quelques automobilistes croisés sont inquiets de savoir si la route est inondée.
Nous manquons la première route qui conduit aux gravures rupestres, la deuxième aboutit à une piste. Renseignements pris les gravures ne sont accessibles que par une piste.
Nous passons Ait Ouabelli joli village accroché à la montagne, trois hommes discutent au milieu de l’oued.
La pluie cesse un peu mais le vent se lève. Sur ce grand plateau il n’a pas beaucoup d’obstacles, nous traversons des nuages de sable.
Etape à Icht au camping auberge Borj Biramane. Très joli camping sur plusieurs niveaux, des khaimas, restaurant , l’ensemble est agrémenté de plantations.
La machine à laver du camping « s’appelle Latifa », en fait on lui confie notre linge, et elle nous le rend sec et plié.
Le temps alternant sans cesse entre soleil, vent et pluie nous restons au camping
155 kms – N 29°03.550 O 08°51.212
Mardi 5 mars 2013 14° - toujours de gros nuages.
Le propriétaire du camping nous dit que dans trois jours la montagne sera couverte de fleurs bleues. Cette pluie est la bienvenue, il est tombé quelques gouttes en octobre, la dernière vraie pluie remonte à 2010.
Comme il a plu une partie de la nuit je récupère mon linge encore humide, je le ferai sécher à la prochaine étape.
Nous faisons 13kms et nous sommes bloqué par l’oued Tamanart qui coupe la route. Nous pourrions passer mais on nous avertit qu’au prochain on sera complètement bloqué. Nous préférons faire demi tour et revenir au camping Borj Biramane. Nous en profitons pour commander un couscous pour ce midi.
Nous passons une partie de l’après midi entre nuages et soleil à écouter les petits oiseaux, nous ne voulons pas sortir Kym il fait trop de vent. Une Suissesse vient faire un petit brin de causette, c’est une amoureuse du camping et du coin, elle y fait de belles balades.
En fin d’après midi, cinq CC s’installent, ils nous disent que maintenant on peut passer. Ils ont quand même été obligé de modifier leur route, celle d’Amtoudi n’étant toujours pas accessible.
Nous allons visiter Icht, c’est un village dont les rues sont en dessous des maisons. N’ayant pas emporté de lampe, nous ne nous engageons que dans les passages pas trop noirs. Des groupes d’enfants viennent nous dire bonjour et échanger quelques mots.
Un premier alignement de puits paraît à l’abandon. Le deuxième un peu plus loin semble plus récent, nous ne voyons pas le fond donc nous ne pouvons dire s’il y a de l’eau. Mais comme toujours la sécurité n’est pas de mise, n’importe quoi, n’importe qui peut tomber dans ces trous.Nous longeons les bords ravinés de l’oued. Des palmiers et des acacias profitent de la fraicheur du sol, un palmier sort d’un trou de 3 à 4m ne laissant dépasser que sa tête.
26kms – N 29°03.550 O 08°51.212
Mercredi 6 mars 2013 15° nuages et soleil
Le temps aujourd’hui est encore bien capricieux. On croit le soleil revenu, mais non c’est un ciel bien gris qui nous tombe dessus. Quelques oueds débordent encore, d’autres ont laissés des traces sur la route.
Ce sont toujours des paysages à perte de vue, des routes qui n’en finissent pas.
Les rues des villages que nous traversons sont couvertes d’eau, Bouizarkane n’y échappe pas mais les commerçants étalent quand même leurs marchandises sur le bord de la route.
Comme aujourd’hui c’est mercredi et que le souk aux dromadaires est le samedi, nous zappons Guelmim.
Les champs cultivés sont plus grands et la couleur des épis nous laisse supposer que c’est bientôt mur. Nous voyons aussi sur le bord des routes des bidons, nous supposons que c’est de la vente de carburant.
20kms avant Tan Tan, juste au niveau du panneau « province de Tan Tan » nous avons droit à un contrôle. Ils se contentent de nous demander ou nous allons et nous souhaitent bonne route. Le plus jeune passe sa main sur le camping car comme le font les enfants dans les villages.
En arrivant à Tan Tan nous reconnaissons les deux dromadaires que illustrent systématiquement la ville, et nous sortons de la ville les roues dans l’eau. Nous laissons le ciel gris derrière nous, c’est sous le soleil et avec le ciel bleu que nous continuons vers El Ouatia.
Une grande avenue descend vers El Ouatia, nous voyons enfin l’océan.
Les campings étant situés les uns près des autres, nous optons au hasard pour l’auberge camping des Sables d’or. Il est un peu plus de 14H.
Nous déjeunons et partons avec Kym vers le port.
A l’entrée un contrôle de police, « le supérieur » nous laisse entrer.
Ce port est une véritable ville avec garderie, antenne médicale, mosquée, des boutiques d’alimentation, de vêtements, de tout ce qui concerne le bateau, des usines de glace.
Bien sur il y a des bateaux de pêches, une multitude de barques, des chantiers de construction et de réparations. Tous les hommes que nous croisons nous saluent gentiment, nous demandent si ça va.
Nous repartons vers El Ouatia, station balnéaire avec de belles villas aux volets clos et aux nombreux restaurants.
Petite balade sur la plage au soleil couchant, toujours de gros rouleaux, quelques bateaux au loin et la brume qui nous enveloppe peu à peu.
Les connexions étant très mauvaises depuis quelques jours, j'ai beaucoup de difficultés pour mettre les photos.
301kms – N 28°29.50 O 11°20.25
Jeudi 7 mars 2013
Aujourd'hui Clémence a 4 ans18°
Ce matin un chien est attaché juste devant notre véhicule, serait ce notre gardien personnel ?
La route longe la côte, nous avons tout juste fait 10kms que nous commençons à voir des petits groupes de CC en stationnement au bord de la falaise en surplomb de l’océan et des cabanes de pêcheurs.
Nous traversons quelques oueds, Oued Chebika, Oued Ma Fatma et l’oued WaaerC’est encore une route très droite, pas de végétation, une immensité de sable. Par moment nous avons l’impression de ne plus être en bord de mer mais au milieu de dunes. Dans cette région ventée la route est souvent recouverte de sable.
72kms après El Ouatia nous faisons le plein de carburant détaxé, soit environ 0,57€ le litre !! ça fait rêver.
Nous nous arrêtons à Akhfenir pour demander l’autorisation de stationner dans le parc naturel de la lagune de Naïla. Le papier est désormais fourni sur le site lui même. Nous profitons de notre arrêt pour faire un peu de ravitaillement.Arrivés à la lagune un jeune homme nous indique où se placer. La falaise domine la lagune où nous apercevons quelques flamands roses, mais ils sont loin.
Pendant que nous mangeons des pêcheurs viennent nous proposer des lottes. On en choisit deux dans la caisse. Le temps de dire ouf elles sont assommées, vidées, dépouillées et les déchets jetés aux goélands. J’ai payé 4,60€ pour deux lottes.
Le vent souffle de plus en plus fort. Côté positif, il chasse les nuages et le ciel redevient parfaitement bleu.
Petite balade au bord de la lagune.
Le calme revient avec la nuit, même les mouettes se taisent. Nos profitons du coucher de soleil, puis du ciel étoilé.
119 kms – N 28.02841 12.24078
Vendredi 8 mars 2013 18°
Livraison de pain à domicile.
Ce matin c'est encore le défilé des pêcheurs qui, chacun leur tour viennent nous proposer leur pêche: lottes, poulpes et soles, nous en profitons pour acheter quelques soles.
Cet après midi nous profitons de la marée basse pour marcher dans la lagune, nous marchons sur un tapis de plantes grasses, de fleurs jaunes et de petits arbustes. Il est dommage que ce très bel endroit soit dénaturé par des détritus en tout genre, nous faisons abstraction de cela et continuons notre balade parfois un peu difficile le sable s’enfonçant sous nos pieds.Les flamands roses sont toujours aussi loin de nous.
On pourrait passer des heures à regarder les barges à queue noire, spatules blanches ( grand échassier à long bec plat), hérons garde bœuf et différentes sortes d’oiseaux dont nous ne connaissons pas le nom. Naïla est une halte pour les oiseaux migrateurs.
Apres cette balade nous remontons sur notre falaise où nous continuons notre observation, Ici tout est calme, paisible, loin de tout.
Trois barques accostent au ponton, ce ne sont pas des pêcheurs mais des touristes.
0kms
Samedi 9 mars 2013 17°
Les pêcheurs viennent de plus en plus tôt. Finalement, juste au moment de partir, nous nous laissons tenter par quelques soles et une araignée.
Puis nous sommes interpellés par un homme qui nous demande si nous pouvons déposer une femme et son enfant quelques kilomètres plus loin, bien sur nous acceptons. Il est difficile de converser avec cette jeune femme qui ne parle pas le Français, malgré tout je comprends qu’elle a également un bébé. Au moment de descendre Jean-Marie donne une casquette « Vendée Globe » au petit garçon. Le petit bout de chou s’en va ravi avec sa casquette sur la tête.
Nous continuons vers le sud, toujours la même route droite parfois ensablée, qui passe tantôt près des falaises ou des plages, tantôt au milieu de dunes ou de grands espaces ressemblant à une succession de bosses de dromadaires.Nous surplombons un moment des salines, et nous voyons toujours des cabanes de pêcheurs faites de bric et de broc, progressivement elles font place à des maisons roses toutes construites sur le même modèle.
En raison du temps bouché nous ne nous arrêtons pas à Tarfaya, nous verrons au retour.
Les panneaux « dromadaires » sont de plus en plus nombreux, nous apercevons quelques troupeaux.
Nous constatons qu’ici, les seules cultures sont celles des pilonnes et des antennes relais.
Nous traversons Tah, de chaque côte de la route un monument. C’est un monument commémoratif qui évoque la visite du Sultan Hassan 1er en 1886 et celle de HassanII en 1985. Cette petite ville fut le point final de la marche verte en 1975.
Daoura ressemble à une ville morte, rien ne bouge.
Ce matin nous avons eu plusieurs contrôles de police, dont deux à l’entrée de Layoune. A un de ces contrôles, comme d’habitude on nous a demandé où l’on allait, d’où l’on venait, si j’avais pris des photos, si j’allais prendre des photos, combien coutait notre véhicule, si c’était notre maison. Puis sans regarder nos papiers, on nous dit de repartir.
Dans cette région souvent ventée nous sommes surpris de voir si peu d’éoliennes, nous en comptons six.
A Foum El Oued nous allons au camping Nil. Nous entrons sur ce qui ressemble plus à un parking qu’à un camping. Les sanitaires sont propres mais vétustes. A part deux arbustes dans l’entrée et un arbre mort près des sanitaires il n’y a aucune végétation, quelques tas de rondins de ciments coupent l’espace.
Nous déjeunons, et partons en compagnie de Kym. Foum El Oued pourrait ressembler à une station balnéaire, mais les rues sont toutes défoncées. Quelques jolies villas, mais beaucoup de maisons ont l’air de rester à l’état de construction, de rénovation, ou de destruction.
Nous longeons la mer où nous pouvons voir quelques surfeurs et baigneurs, et des petits abris de toile.
Nous passons près d’un bateau échoué sur une plage ou la vie continue.
Finalement nous nous retrouvons au port de pêche de Laayoune, nous faisons demi tour.
Nous allons voir l’autre partie de la plage de Foum El Oued, les CC sont installés sur un parking près de la route face à la mer.
En ce samedi il y a du monde à profiter du soleil et de la plage, quelques Sahraouis portent l’ample vêtement blanc traditionnel.
Retour au camping où nous sommes toujours seuls. Très bonne connexion avec Maroc Telecom
203kms – N 27.17603 O 13.39266
Dimanche 10 mars 2013 17°
Deux combis sont venus nous rejoindre cette nuit.
Sur la route qui rejoint la N1 nous voyons deux enfants se baisser pour ramasser des cailloux. Quand ils voient l’appareil photo ils se cachent derrière le banc, mais nous lancent les cailloux dès que nous sommes passés. Pas de dégâts.
Quelques conserveries autour de El Marsaa, port de Laayoune
Toujours le même paysage dénudé, seuls quelques arbres poussent au ras du sol, couchés par le vent.
Nous croisons beaucoup de camions, quelquefois en convois chargés de containers, qui roulent à vive allure et ne prennent pas la peine de se ranger, un peu difficile surtout quand la chaussée est rétrécie par le sable.
Un tapis roulant traverse la route, ce tapis sert à transporter les phosphates.
Nous enchainons les kilomètres, cela paraît un peu long, un panneau indique Tarouma un village de pêcheurs sur la droite et zone conchylicole. Ces routes droites à perte de vue nous font penser à celles rencontrées en Suède, sauf que là nous avons du sable à la place des forêts.
Quelquefois des panneaux nous surprennent tel un panneau d’interdiction aux vélos, d’autres indiquant des contrôles radars.
Et brusquement une vision insolite. Que fait une moissonneuse batteuse Deutz sur une route en plein désert, ou va t’elle, d’où vient elle ? Et devant elle, un tracteur avec une presse Class.
Quelques troupeaux de dromadaires viennent rompre la monotonie de la route.
Nous subissons l’effet mirage, nous avons l’impression d’avoir une étendue d’eau à la place de la route, de voir des personnes traverser la route alors que ce sont les panneaux indicateurs. Et je peux vous dire que nous n’avons pas absorbé d’alcool ni fumé la moquette.
Juste après le panneau Agdel Gazil, village de pêcheur aux portes de Boujdour, nous avons droit à un contrôle police. On nous demande si nous avons une fiche de police. Comme depuis le dernier contrôle, nous en avons préparé, nous lui donnons. Il paraît satisfait, nous demande où l’on va. Nous cherchons à savoir le pourquoi des autruches qui ornent la porte, il répond que c’est pour faire joli, que les vraies se trouvent à 800kms d’ici.
Une ambulance croisée nous fait prendre conscience de l’isolement de ces lieux et de la difficulté des soins en cas de problèmes graves ou d’accident.
Nous faisons étape à Boujdour au camping Sahara Line, à 200m de la plage ( les coordonnées gps du Gandini ne sont pas exactes).
Quelques emplettes, puis faisons une virée en scooter.
Tout le front de mer est envahi de tentes en tous genres, quelques enfants jouent sur la plage, quelques personnes ramassent des coquillages mais pas un baigneur pour affronter ces énormes rouleaux, pas même un surfeur.
La ville est un mélange de couleurs, quartiers pauvres, routes défoncées, quartiers modernes, bâtiments en construction mais qui donnent l’impression de « jamais finit », des boutiques et ateliers qui se cachent derrière une porte en fer.
Nous avons retrouvé notre moissonneuse sur un parking de Boujdour et avons essayé de demander au chauffeur où il allait, mais de toute évidence il ne comprenait et ne parlait pas Français.
Boujdour était à l’origine un village de pêcheurs construit autour du phare. Près du phare, sur la place se dresse une statue représentant un soldat sur un dromadaire. Je n’ai pas trouvé d’explications sur cette statue.
Boujdour est notre dernière étape dans le Sahara Occidental. Nous avons fait à ce jour 4888kms
184 Kms – N 26.13245 O 14.49448
L'ALBUM DE LA SEMAINE
LA CARTE DE LA SEMAINE
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Commentaires
Bonjour,
Après un essai à 5h ce matin, je viens à nouveau d'essayer de mettre mes images, mais ça ne passe pas à part une de temps en temps (mais un temps en temps très rare).
Le soleil est revenu, mais ce matin des nuages sont toujours présents.
Aujourd'hui nos descendons vers la lagune de Naïla, donc je ne sais pas arriverons à nous caler pour être le samedi à Guelmim pour le souk. Sinon ce sera pour un prochain voyage.
Bonne route vers Merzouga.
Bises
Ghyslaine
Re bonjour,
Profitez bien de la lagune de Naïla. je trouve l'endroit super et j'aime beaucoup. Il y a de belles balades à faire dans les dunes soit jusqu'à la mer. Je n'ai jamais tenté la pêche, je n'ai pas le pied marin, mais parait qu'un ejournée avec un pêcheur c'est super.
Grosses bises
Effectivement cadre super. Et de plus, contre toute attente, j'arrive à mettre mes photos sur le blog.
Bonsoir,
J'avais mis un mot que j'avais des problèmes, Stéphanie m'a répondu que cela devrait aller maintenant, donc ce matin j'ai essayé et cela fonctionnait à nouveau. Je pense qu'Eklablog y était pour quelques chose.
Je vaistenter de continuer j'ai pris un peu de retard hier au soir.
Bonne continuation.
Grosses bises
Je n'ai pas pensé un instant que ça pouvait venir d'Eklablog, je me suis un peu agacée pour rien finalement. Pour moi dès ce matin ça ne marchait. En arrivant à Naïla, n'y croyant pas car au milieu de nul part, j'ai testé et ça fonctionnait. Miracle de la technologie.
Bonne soirée
Bises
Ça faisait un petit moment que je n'étais pas venue voir où en était les promeneurs ! Je constate qu'on se débrouille drolement bien ! Et quand je vois le prix du carburant ... 'y a de quoi être encore plus énervé quand on entend de la part de nos très chers gouvernants que le prix du gazole en France, c'est une niche fiscale ! ! Si, si, ils ont OSE le dire !
Bonne route et à bientôt
Bonjour Laurence,
Et oui nous continuons tranquillement notre balade, nous sommes ce soir à Boujdour sous le soleil, il fait encore 22° à 18h (heure locale c'est à dire 19h en France). Nous n'irons pas plus au sud, car pour aller à Dakla il reste pas mal de kms et ça ne vaut pas le coup pour n'y rester que deux jours.
Pour ce qui est du tarif du carburant c'est vrai que ça fait tout drôle, notre dernier complément de plein était à 0,55€ le l. On se dit que notre gouvernement et les intermédiaires ne sont vraiment pas gourmands....
A bientôt
Ghyslaine
9roul' ta billeMercredi 13 Mars 2013 à 12:34Bonjour à vous deux,
Quel dépaysement par rapport à votre voyage dans le nord. Pour moi, vu mon hobby, il y a vraiment trop de sable et trop peu d'eau douce
Nous sommes heureux de voir que votre voyage se passe bien et vous souhaitons une bonne continuation.
Bises à vous deux
Yvette et André
Bonjour les "Roul'ta bille",
Tu peux pratiquer ton hobby dans l'Atlantique, sur le bord des falaises il y avait plein de pêcheurs. D'accord il reste le sable.... L'expérience désert est interessante.
Comme vous pouver constater il y a plein de jolies choses à voir, c'est bien différent du Nord.
Votre venue en France est pour quand? Un grand voyage prévu cette année?
Bises à vous deux,
JM G
11roul' ta billeMercredi 13 Mars 2013 à 16:02Comme tu le dis, on se rend compte qu'il y a des endroits superbes à visiter au Maroc.
Nous ne prévoyons pas de grande migration cette année, En Mai, ce sera l'Auvergne, en Juin le jura franco-suisse et en Septembre la Bretagne.
Et si la santé d'Yvette, qui semble bien se stabiliser maintenant, reste bonne on prévoit un nouveau voyage vers la Norvège et le grand Nord en 2014.
C'est sous 20 cm de neige et les -10° de ce matin que nous vous souhaitons un bon retour vers le nord.
On a pas tous le même soleil.....
Bises, André
Coucou
je / nous venons de lire tous ces récits, nous sommes impatients nous partons dimanche 24/03.
Je me réjouis en avance de pouvoir manger du poisson. Mais il nous faudra tout traverser avant d'arriver .. en bas ..
Michel est en train de regarder des photos de Boujdour , sympa.
Bonne continuation
je te mets dans mon googgle reader, afin e te lire au fur et mesure.
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Bonjour,
Je vois aussi que vous n'avez pas échappé à la pluie. Ici à Figuig le soleil est revenu. J'espère de même pour vous.
J'ai aussi beucoup de prolèmes pour mettre les photos, Bien que la connexion soit relativement bonne aussi bien, avec la wifi du camping qu'avec la clé Maroc Télécom. Je vois que je ne suis pas la seule, mais cela simplement depuis hier au soir.
Bonne continuation je pense que vous allez vous arrêter au souk de Guilmin samedi. Même s'il n'est plus vraiment authentique il est à voir. Nous aimons y faire un tour quand nous sommes dans les parages.
Nous nous dirigerons tout doucementy vers Merzouga, je ne sis pas si n va pouvoir se rencontrer.
Grosses bises
Huguette